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propose dans sa COLLECTION

"GRANDS CLASSIQUES DU CINEMA AMERICAIN"

 

Cinq chefs-d'oeuvre de la 20TH CENTURY FOX en DVDs

SORTIE LE 8 NOVEMBRE 2005

Cliquez dans l'image pour découvrir chaque film de la Collection

Accès au communiqué de presse en version flash paper

 

 

Le Fleuve sauvage
Wild River
1960

 

Producteur et réalisateur Elia KAZAN
Avec Montgomery CLIFT, Lee REMICK, Jo VAN FLEET, Albert SALMI
Scénario Paul OSBORN

Directeur de la photographie Ellsworth FREDRICKS
Montage William REYNOLDS

Musique Kenyon HOPKINS

 

«L’amour est ici si soudain que, après la crue, on redoute d’en découvrir les dégâts encore invisibles»

Philippe Piazzo, Aden – Le Monde

LE FILM
En 1933, l’administration du Président Roosevelt ordonne la construction de plusieurs barrages dans la région du Tennessee où, depuis toujours, de nombreuses crues provoquent d’importantes inondations. Jeune ingénieur, Chuck Glover est envoyé sur les lieux afin de persuader Ella Garth, une vieille femme, de céder la terre de ses ancêtres…

Unique collaboration entre Elia Kazan et Montgomery Clift, Le Fleuve sauvage s’affirme comme un véritable tournant dans la carrière du cinéaste. Loin de la nervosité de ses premières oeuvres (Un Tramway nommé désir, Panique dans la rue), il donne au réalisme social et historique une dimension lyrique, et signe un constat sur l’Amérique rurale d’une grande délicatesse, magnifié par l’utilisation du Cinémascope.

 

BONUS INÉDITS

Le Tennessee de Kazan (7 mn)
Dans les années 1930, Kazan découvre le sud des Etats-Unis, traversé par le Tennessee, et exploité par les travaux du New Deal ; sources d'inspirations du Fleuve Sauvage.

Le Lyrisme du Fleuve Sauvage (15 mn)
Florence Colombani, auteur de « Elia Kazan : une Amérique du chaos », analyse le travail du réalisateur et les contenus thématiques du Fleuve Sauvage.

Bande annonce

CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
DVD 9 – NOUVEAU MASTER RESTAURÉ
Version Originale Sous-titres Français
Format 2.35 respecté – 16/9 compatible 4/3 – Couleurs
Durée: 105 mn

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Derrière le miroir
Bigger Than Life
1956

 

Réalisateur Nicholas RAY
Avec James MASON, Barbara RUSH, Walter MATTHAU, Robert SIMON
Scénario Cyril HUME, Richard MAIBAUM
Directeur de la photographie Joseph MacDONALD
Montage Louis R. LOEFFLER

Musique David RAKSIN
Producteur James MASON

«Intelligent, subtil et d’une logique absolue»

François Truffaut

LE FILM
Ed Avery est conduit à l’hôpital suite à de nombreuses attaques. Après un diagnostic dramatique, les médecins lui proposent un nouveau traitement à la cortisone dont on ignore encore les effets secondaires. Efficace les premiers temps, il offre à Ed un sentiment de bien- être. Mais peu à peu, celui-ci est sujet à des accès de violence…

Souvent considéré comme étant le film le plus ambitieux de Nicholas Ray, Derrière le miroir s’attaque de front à l’Amérique provinciale. En brisant la notion de rêve américain, le cinéaste saisit l’occasion de mettre à nu un homme en proie à ses désillusions et à ses pulsions les plus profondes, condamnant le puritanisme religieux et le conformisme avec une extraordinaire détermination. James Mason, en instituteur peu reconnu et dévoré par la mégalomanie, y est parfait.

BONUS INÉDITS

Le parcours d’un cinéaste « Rebel » (3 mn)
Le cas singulier d’un cinéaste travaillant à Hollywood et hostile à son système.

Le mythe de la famille unie (20 mn)
Jean Douchet analyse Derrière le miroir et revient sur les mythes de la société américaine.

Bande-annonce

CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
DVD 9 – NOUVEAU MASTER RESTAURÉ
Version Originale /
Version Française Sous-titres Français
Format 2.35 respecté – 16/9 compatible 4/3 – Couleurs
Durée : 91 mn

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Carmen Jones
1954

 

Producteur et réalisateur Otto PREMINGER
Avec Dorothy DANDRIDGE, Harry BELAFONTE, Olga JAMES, Pearl BAILEY
Scénario Harry KLEINER et Oscar HAMMERSTEIN II
Directeur de la photographie Sam LEAVITT
Montage Louis R. LOEFFLER
Musique Georges BIZET

«Preminger a essayé de pulvériser les conventions par une utilisation magistralement réaliste de l’espace et du décor… »

 

Jacques Lourcelles
Dictionnaire du cinéma

LE FILM
Durant la Seconde Guerre Mondiale, Cindy Lou rend visite à son fiancé, le caporal Joe, au camp de Jacksonville. Carmen Jones, ouvrière de l’atelier de parachutes, aguiche Joe en présence de sa future femme. Après une violente bagarre, Carmen est conduite en prison mais s’échappe durant le trajet…

Sous forme de film musical, Otto Preminger transpose l’opéra de Georges Bizet, adapté de la nouvelle de Prosper Mérimée, dans le milieu noir américain. Dans un univers réaliste aux couleurs des années 40, il façonne le personnage de Carmen à la manière de ceux de ses premières œuvres (Crime passionnel). Porté avec grâce par le couple Dorothy Dandridge – Harry Belafonte, Carmen Jones est aussi à l’origine de l’une des rencontres les plus déterminantes de la carrière du cinéaste : celle de Saul Bass, dont c’est ici le premier générique.

 

BONUS INÉDITS

Saul Bass : l’art du générique (5 mn)
Retour sur le générique de Carmen Jones et sur la collaboration mythique entre Otto Preminger et Saul Bass.

Carmen Jones : un drame musical (15 mn)
Stéphane Tréguer analyse le travail du réalisateur Otto Preminger et les contenus thématiques de Carmen Jones.

Bande-annonce

 

CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
DVD 9 – NOUVEAU MASTER RESTAURÉ
Version Originale Sous-titres Français
(Stéréo Dolby surround)
Format 2.55 respecté – 16/9 compatible 4/3 – Couleurs
Durée : 101 mn

 

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La Flibustière des Antilles
Anne of the Indies
1951


Réalisateur Jacques TOURNEUR
Avec Jean PETERS, Louis JOURDAN, Debra PAGET, Herbert MARSHALL, Thomas GOMEZ,

James Robertson JUSTICE
Scénario Arthur CAESAR, Philip DUNNE
Directeur de la photographie Harry JACKSON
Montage Robert FRITCH
Musique Franz WAXMAN
Producteur George JESSEL

 

« Jacques Tourneur signe un film beau comme un livre d’images »

Florence Colombani

Le Monde

LE FILM
Enfant trouvée et élevée par le célèbre pirate Barbe Noire, Anne Providence est devenue depuis le capitaine du « Sheba Queen ». Impitoyable, elle est la terreur de la flotte anglaise à qui elle voue une rancoeur particulière depuis la mort de son frère. Mais lorsqu’elle décide de sauver l’un de ses prisonniers, le caractère brutal d’Anne s’estompe…

Après La Flèche et le Flambeau, Jacques Tourneur revient au film d’aventures. En s’écartant des productions qui ont fait sa renommée (La Féline), le cinéaste confirme ici son sens du récit et sa facilité à s’immiscer dans le cinéma de genre. Peinture tragique d’une femme dominatrice et tyrannique confrontée à ses sentiments, La Flibustière des Antilles est, notamment grâce à la partition de Franz Waxman et à l’utilisation flamboyante du Technicolor, l’un des meilleurs films de pirates.

 

BONUS INÉDITS

Les Flibustières de Rackham (4 mn)
Retour sur les vraies femmes pirates Mary Read et Anne Bonny qui ont inspirées Jacques Tourneur pour La Flibustière des Antilles.

Variations sur Anne Providence (17 mn)
Pierre Berthomieu revient sur la façon dont Jacques Tourneur et le compositeur Franz Waxman explorent l’âme du fascinant personnage d’Anne Providence.

 

CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
DVD 9 – NOUVEAU MASTER RESTAURÉ
Version Originale Sous-titres Français
Version Française

Format 1.37 respecté – 4/3 – Couleurs
Durée : 81 mn

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La Blonde et moi
The Girl Can't Help It
1956

 

Producteur et réalisateur Frank TASHLIN
Avec Jayne MANSFIELD, Tom EWELL, Edmond O’BRIEN
Scénario Frank TASHLIN et Herbert BAKER
Directeur de la photographie Leon SHAMROY
Montage James B. CLARK

« Davantage qu’une excellente parodie, c’est une sorte de chef-d’oeuvre du genre »

François Truffaut

LE FILM
Marty Murdoch, un ancien gangster, voit en son égérie blonde tout le potentiel d’une grande vedette. Avec l’aide de Tom Miller, un directeur artistique alcoolique, il décide de franchir le pas. Mais loin d’être la Baby Doll rêvée, Jerri Jordan espère davantage satisfaire son mari avec de bons petits plats et vivre pleinement sa vie de femme au foyer…

Dans la grande tradition de la comédie américaine, Frank Tashlin se joue avec moquerie de l’Américain moyen. Tom Ewell retrouve, à quelques variations près, son personnage légendaire de Sept ans de réflexion, et Jayne Mansfield, en blonde platine, est aussi drôle qu’attachante. Autour de numéros musicaux rythmés au son du rock des années 50 (Little Richard, Gene Vincent, Les Platters, Eddie Cochran, Fats Domino, Julie London), le cinéaste signe une oeuvre insolite d’une grande originalité.


BONUS INÉDITS

Tashlinesque ! (5 mn)
Une biographie en images de l’un des réalisateurs les plus hilarants d’Hollywood.

La blonde atomique (11 mn)
Marc Cerisuelo revient sur le générique et la forme cartoonesque de La Blonde et moi.

Bande-annonce

 

CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
DVD 9 – NOUVEAU MASTER RESTAURÉ
Version Originale Sous-titres Français
Format 2.35 respecté – 16/9 compatible 4/3 – Couleurs
Durée : 93 mn

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Pour en savoir plus

Édition DVD

CARLOTTA FILMS
8, BD Montmartre
75009 PARIS
Tel : 01 42 24 10 86
Fax : 01 42 24 16 78
www.carlottafilms.com

Distribution

GCTHV
31 rue Louis Pasteur
92100 BOULOGNE
Tel : 01 46 84 19 19

 

Relations presse
DARK STAR
Cécile GIRAUD, Fabien BRAULE
8, BD MONTMARTRE
75009 PARIS
Tel : 01 42 24 87 89
Fax : 01 42 24 16 78

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